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Les hiéroglyphes antédiluviens d’Hermès-Thot existent-ils? Répondre à une telle question, aussi intéressante mais aussi hasardeuse que celle là, semble à première vue une entreprise vaste et folle, mais une traduction en arabe retrouvée au Caire seulement en 1805 et datant d’environ l’an 980, d’un livre bien plus ancien encore, passionnant et mystérieux, va nous permettre sans doute de commencer à pouvoir y répondre…

Cairo in the time of Bonaparte, painting by Jean-Léon Gérôme. Public Domain
D’abord, chose incroyable, cette traduction en arabe d’un ouvrage aussi intéressant, a totalement échappé (parmi d’autres livres rares des plus secrets, c’est certain) aux 167 savants de Bonaparte installés au Caire pendant l’expédition d’Egypte (1798-1801), qui pourtant ont remué ciel et terre pour trouver tout document ancien, livre, artefact, a fortiori ceux pouvant receler les connaissances techniques et sacrées des Anciens Égyptiens.
Ce livre traite de 80 alphabets anciens et méconnus dont même des antédiluviens(!), en tous cas : admis comme tels à l’époque de l’écriture du livre, et nous éclaire sur des hiéroglyphes inédits qui proviendraient d’Hermès lui-même! Tout un programme! C’est pourquoi aujourd’hui je vais vous parler des Hiéroglyphes antédiluviens d’Hermès-Thot.
D’abord la difficulté vient du personnage d’Hermès lui-même, devenu mythique à travers les âges ce qui fait que certains pensent même qu’il n’a pas existé. Mais voyons celà : dans l’Egypte hellénisée, à l’époque de la fin de l’Antiquité, les Grecs qui avaient repris et remis au goût du jour des connaissances plus anciennes des Égyptiens, nommaient Hermès : le Dieu des savoirs secrets et l’ assimilait à Thot /Tehuty/Djehuty qui devint cet Hermès Trismegiste auteur du corpus d’œuvre dont les alchimistes du Moyen Age raffolaient, ce que plus tard on appela : le savoir hermétique.
Je ne vais pas vous parler ici de la Table d’émeraude attribué à Hermès dont la plus ancienne version figure en appendice du Livre, en arabe, du secret de la Création (Kitâb sirr al-Halîka) dont on a une copie datant de 825 mais qui daterait du VI ème s. Ce petit texte de la table d’émeraude se présente comme une traduction du grec d’Apollonius de Tyane, du IVème siècle, même si ce manuscrit n’a pas été retrouvé. On est loin de la haute antiquité d’un Thot et il s’agit plus d’une oeuvre apparue dans l’Egypte hélénistique comportant principalement du savoir alchimique, médicinal, astrologique et magique, fort à la mode de l’époque, et en tout cas dans des copies pas plus ancienne que le 3 ème siècle avant J.-C. Alors qu’ ici je vais vous parler d’un livre qui comporte de véritables hiéroglyphes, dont des méconnus notament dans les équivalences sonores et leurs traduction…
Pour rappel : pour les romains, Hermès est associé à Mercure et à l’égyptien Thot. Cicéron, le célèbre homme d’Etat romain et auteur latin (106/43 av. J.-C.) écrit d’ailleurs : « il se réfugia en Égypte et donna aux Égyptiens leurs lois et l’alphabet ; les Égyptiens l’appellent Thôt, nom par lequel ils désignent aussi le premier mois de l’année. »
Le grand professeur et historien français Antoine Faivre lui, nous dit: « « La généalogie la plus classique d’Hermès à l’époque hellénistique fut élaborée au IIIe ou IIe siècle avant Jésus-Christ. Elle fait commencer la série des Hermès par Thot, qui grava sa science sur des stèles et la cacha. Son fils fut Agathodémon… Le fils d’Agathodémon est le deuxième Hermès, c’est lui que plus tard, au IIe siècle de notre ère, on appelle souvent Trismégiste… Et le fils du Trismégiste est Tat.… ».
Et le grand érudit anglais du XII eme siècle Robert de Chester (actif entre 1140 et 1150), qui a été le premier à traduire les livres alchimiques, astronomiques, algébriques arabes et autres livres savants d‘Arabie dont le Coran, lui, nous dit: » Nous lisons dans les anciennes histoires des dieux qu’il y eut trois Philosophes dont chacun s’appelait Hermès. Le premier fut Hénoch… Le deuxième fut Noé… Le troisième fut l’Hermès qui, après le Déluge, régna en Égypte. » Dans le Coran d’ailleurs, Hermès est associé à Hénoch, arrière-grand-père de Noé. Hermès y serait sous le nom d‘Idris en fait l’arrière grand-père de Noé. (bientôt ici un article sur le véritable Noé et son nom véritable!). Imaginons qu’Hermès-Thot soit l’arrière grand-père de Noé….cela ouvre des horizons en tout cas qui éclaire bien des textes anciens égyptiens et bien des choses! J’aurais l’occasion de vous en reparler!
Donc, quand le traducteur de notre livre mystérieux nous parle d’Hermès et par la suite d’écriture antédiluvienne pour les hiéroglyphes rattachés à lui, nous en trouvons trace chez différents auteurs et ouvrages de très différentes époques et provenances. Mais revenons à l’auteur de la traduction, que savons nous de lui? Et quel est ce livre?

Ecriture Nabatéenne, Musée du Louvre, Wikicommons

Antoine Gigal faisant ses recherches dans le vieux Caire Photo©AntoineGigal
Ce livre traduit en arabe du Nabatéen s’intitule : Kitab Shawq al-Mustaham (la connaissance complète si attendue des alphabets secrets) et propose une traduction des hiéroglyphes égyptiens, parle de leurs origine et de plusieurs autres alphabets plus ou moins inconnus. La traduction de ce livre qui avait échappé aux savants de Napoléon était en Egypte et avait fait des apparitions en Turquie et semble avoir été connu en Europe en des temps plus anciens. La seule traduction anglaise existante datant de 1806 est loin d’être aussi bonne que celle de la version arabe qui fut la première traduction et sur laquelle je me suis appuyée. J’insiste toujours beaucoup, dans chaque interview que je fait, sur l’importance de consulter les textes arabes du Moyen Age notamment en Egypte, qui sont une mine pour expliquer plein d’interrogations en égyptologie.
De façon naturelle, les arabes d’Egypte s’étaient penchés sur les questions qui nous préoccupent par rapport aux anciens égyptiens et avaient à leur disposition bon nombre de copies, traductions etc…de textes très antiques qui n’existent plus. Simplement les Occidentaux ont toujours tendance à mépriser ces textes disant pour résumer qu’ils sont inventés alors que : bien avant nos propres découvertes, la base de notre médecine, astronomie, algèbre etc…s’y trouve. Je pourrais dire la même chose d’ailleurs pour les textes anciens égyptiens qui sont souvent traduits comme si ces gens n’avaient aucune ou presque pas de connaissance !

Araméens au nord avec Petra, Sabéens au sud avec Marib
L’auteur Ibn-Waḥšīya ou Ibn Wahshih selon les textes, vivait à l’époque du calife omeyyade : Abd Al-Malik ibn Marwān pour qui il travaillait. (Les Omeyyades qui construisirent Fostat en Egypte le premier quartier du Caire et installèrent une grande paix culturelle entre Chrétiens et Musulmans en Andalousie pendant des centaines d’années). Il était né dans l’actuel Irak mais travaillait pour ce calife au Caire et était chargé de traduire en arabe les anciens textes de valeur, Nabatéens. Sa mère était Nabatéenne et il était Soufi. Il connaissait parfaitement la langue araméenne également. Pour rappel : les Nabatéens se trouvaient à la frontière de la Syrie, au nord de la péninsule Arabique, frontaliers de l’Euphrate, jusqu’à Damas a certaines époques, et frontaliers du nord de la mer Rouge. Leur capitale étant Petra en Jordanie actuelle. L’alphabet nabatéen selon les experts dérive de l’alphabet araméen et est considéré comme l’ancêtre de l’alphabet arabe.
Les Sabéens auraient vécu bien avant Adam et Eve :

Ecriture Sabéenne.Photo©AntoineGigal-BritishMuseum
On sait également qu’il traduisit un livre : »Sidrat el Muntari »(l’arbre du paradis),un autre qui devint célébre : un traité nommé » L’ Agriculture nabatéenne » (Filahât al-Nabâtiyyah) dans lequel on nous dit des choses passionantes, de façon trés affirmative : que les Sabéens vivaient bien avant Adam et Eve sur Terre et auraient comme origine l’Inde! Pour rappel, les Sabéens eux, vivaient en Arabie du sud, au Yémen, au nord de Éthiopie et dans l’actuelle Érythrée dans le fameux royaume de Saba/Sheba. La première réelle mention officielle au sujet des Sabéens nous provient des inscriptions assyriennes de -750 av. J.-C. Mais ils pourraient être beaucoup plus anciens comme l’indique cette traduction de livre. ( voir mon article sur les sphinxs de Saba/ Sheba dans les références)
Une telle affirmation si révolutionnaire, semble avoir fortement interessé des personnages de grande intelligence comme en France le diplomate et secrétaire du prince de Condé : Isaac La Peyrère (1596-1676) qui était aussi ami de Blaise Pascal, et qui écrivit sur l’hypothèse révolutionnaire des « Préadamites », selon laquelle des hommes, les « Gentils« , existaient avant Adam et Eve. Le « Préadamisme » à convaincu ou fortement interessé des gens illustres comme Théophile d’Antioche (évêque vers 169), l’empereur romain Julien, le grand Maimonides, le grand Giordano Bruno etc… Pour rappel : les théories scientifiques admises aujourd’hui sont toutes préadamites, mais monogénistes, plus précisément la théorie monogéniste et africaine. Il est curieux que l’on ne nous parle pas davantage du Préadamisme non monogéniste…
On sait aussi qu’il traduisit des livres sur toutes sortes de sujets: de la toxicologie à l’alchimie, la médecine. Mais il y a aussi un sujet qui me passionne personnellement beaucoup: « sur la composition et la construction de machines artificielles » , oui vous avez bien lu « artificielles » , de la robotique avant l’heure ! J’en trouve trace partout dans les textes arabes anciens! J’éspère pouvoir écrire bientôt sur ce sujet.
Des pharaons antiques avaient créé leurs propres hiéroglyphes!

Ibn Wahshiyah extrait
Mais revenons au livre qui nous intéresse. Dedans il est raconté que beaucoup de philosophes de l’Antiquité avaient créé leurs propres alphabets comme Platon ainsi que les rois et pharaons antiques d’Egypte, les rois de Syrie et de Perse, mais nous y reviendrons dans d’autres articles. Il nous est raconté que ses rois avaient « créés ses alphabets avec leur propre compréhension afin que les » fils de la sagesse » puissent seuls y avoir accès » car: » ils comprenaient les Secrets de la nature » . D’autres, suivirent uniquement les règles de la géométrie pour crypter leurs écrits. Ils avaient d’ailleurs développé des systèmes de cryptage sophistiqués au cas où leurs messagers auraient été interceptés.
Il raconte que plusieurs alphabets antédiluviens ont été preservés par les Nabatéens et les Sabéens dont un alphabet nommé: Shimshim dont des phrases étaient écrites sur de l’argile qui était ensuite cuite et se retrouvaient cachées à l’intérieur de la structure même des poteries. Il dit aussi que l’aphabet d’Hermes était utilisé par les pharaons qui « savaient sa provenance antédiluvienne et l’utilisait dans la liturgie des temples ». Le traducteur dit lui-même en avoir vu en Haute Egypte sur des pierres.
Les 4 sortes de véritables descendants d’Hermès:
Il dit que les descendants d’Hermes sont de 4 sortes:
1) Les descendants du fils d’Hermès (Harámisah : il est intéressant de voir qu’en arabe les pyramides se nomment: Harám donc Hermès serait bien lié à la construction des pyramides. intéressant!) qui ont construit bien des temples et ont preservé les secrets de génération en génération en ne se mariant qu’entre eux.
2) Les descendants du frère d’Hermes : Asclebios (Alpináwalúziyah): ce qui me parle beaucoup puisque j’ai écris un long article sur le fait qu’ Esculape/Asclépios pourrait être Imhotep lui-même, je me cite: « N’oublions pas que les anciens Grecs se disputaient déjà au sujet d’Asclépios en disant qu’il était beaucoup plus ancien que la datation officielle voulait bien le dire (déjà à l’époque). Des linguistes avancent la thèse selon laquelle le véritable sens du nom Asclépios serait étymologiquement « le héros du tertre ». Or, toute l’histoire sacrée de l’Egypte est basée sur un tertre primitif élevé au-dessus des eaux… Finalement, Asclépios et Imhotep ne seraient-ils pas la même personne? » et: » Très vite les Grecs installés en Egypte assimilèrent Imhotep l’Egyptien à leur Dieu Esculape, Asclépios le dieu de la médecine, et appelèrent son école de médecine Asklépieion. Il est fort possible que les deux, Asclépios et Imhotep, soient une seule et même personne ». Donc nous avons là peut être les deux frères Thot et Imhotep ! Intéressant!
3) Ensuite il y a les descendants des enfants de la soeur d’Hermès qui viendraient de l’est et de l‘Asie (les Ashrákiyun) qui se sont mélangés à d’autres. Et enfin :
4) Les : » philosophes marcheurs » ( Masháwun) des étrangers qui se sont mélangé aux descendants d’Hermès en voyageant et qui étaient spécialistes en astronomie.
Donc voici dans les images ci-dessus un extrait des fameux hiéroglyphes d’Hermès. Ce que l’on peux observer c’est que pour certains seulement de ces hiéroglyphes nous les connaissons déjà, mais ils ne se prononcent pas dutout pareil qu’en égyptien ancien. Ce qui pour moi nous donne une grille de cryptage sonore qui peut délivrer un autre niveau de traduction : un sens caché. Cela demande une étude longue et poussée mais qui à mon avis, malgrès le dédain occidental, et les déformations gréco-latines, peut nous ammener à des grilles de lecture fort intéressantes. Encore du travail en perspective!
Voici juste ci-après pour vous donner une idée deux des hiéroglyphes de la liste que nous connaissons déjà avec en blanc la prononciation classique admise et en jaune celle proposée par ce livre…totalement différent !

Silvestre de Sacy
En tout cas je me garderai bien de me moquer du contenu de ce livre qui apporte par ailleurs des indications très intéressantes et provenant d’un traducteur reconnu à son époque, ayant fait des traductions officielles et reconnues pour son sultan en plusieurs langues anciennes. Il était capable de traduire les hiéroglyphes aussi grâce à sa grande connaissance du Copte et cela 8 siècles avant Champollion comme nous le souligne le professeur en Egyptologie le Dr Okasha el Daily à Londres. D’ailleurs Sylvestre de Sacy : le professeur de Champollion eut connaissance de ce livre 16 ans avant le déchiffrement de la pierre de Rosette mais cela restait un travail long et difficile et la bonne connaissance de plusieurs langues anciennes.
Voilà un travail qui ne fait que commencer, puisque j’ai commencé à decouvrir que les fameux codes, apposés par les anciens égyptiens et inscrits sur les 1224 morceaux du bateau dit »solaire » de Cheops, et qui ont permis de le remonter comme un lego à notre époque, sont en fait une partie des alphabets secrets dits « antédiluviens » présentés par Ibn Wahshih ! A suivre…
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Références: -Ibn Wahshiyya: Kitab Shawq al-Mustaham, -Antoine Gigal: Les Sphinxs de Saba/Sheba : http://www.gigalresearch.com/bulletins-19.php -Davis, Tenny L. : "The Emerald Tablet of Hermes Tristmegistus: Three Latin versions which were current among later Alchemists", Journal of Chemical Education, Vol.3, no.8, pp 863-75, 1926. -Robert de Chester : Traduction en latin (1144) du Livre de la composition d'alchimie, intitulé De compositione alchemiae quem edidit Morienus Romanus Calid regi Aegyptiorum : édition par Lee Stavenhagen, en anglais"The original text of the Latin Morienus", Ambix, n° 17 (1970), p. 1-12 ou A Testament of Alchemy, Hanover, University Press of New England, 1974. Traduit en français (in William Salmon, Bibliothèque des philosophes chimiques, t. II) : "Entretiens du roi Calid et du philosophe Morien". -Antoine Faivre : D'Hermès-Mercure à Hermès Trismégiste, in Présence d'Hermès Trismégiste, Albin Michel, coll. Cahiers de l'hermétisme, 1988, -Ibn Wahshiyya: "le Livre des secrets du soleil et de la terre » (Renan, Mémoire sur l’âge du livre intitulé « Agriculture nabatéenne », dans les Mémoires de l’Acad. des Insc. et Belles-lettres, t. XXIV, 1861, p. 139-142). -"Systema theologicum ex Prae-Adamitarum hypothesis pars prima, Sans lieu, 1655, consultable [archive] sur Gallica. -Præadamitæ, Les Préadamites ou Dissertation sur les douzième, treizième et quatorzième versets du cinquième chapitre de l'épîre de S. Paul aux Romains, par lesquels est établie l'existence de premiers hommes avant Adam, Sans lieu, 1655, consultable [archive] sur Gallica. -Élisabeth Quennehen, Le Problème de l'unité du genre humain au xviie siècle : Contribution à l'idée polygéniste [Guillaume de Conches, Giordano Bruno, Isaac La Peyrère], thèse d'histoire sous la direction de Jean Devisse soutenue en 1993, université Paris I. Contient une traduction des livres III et IV des Præadamitæ. -Dr. Okasha El Daly (2005), Egyptology: The Missing Millennium: Ancient Egypt in Medieval Arabic Writings, UCL Press, ISBN 1-84472-063-2 (cf. Arabic Study of Ancient Egypt, Foundation for Science Technology and Civilisation)
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10 comments
Merci infiniment Gigal de nous partager ton travail. Cela fait deux mois que j’ai découvert tes vidéos. Quel bonheur de te suivre sur le chemin de la connaissance. Plus je suis tes vidéos plus mon coeur est en joie.
Merci beaucoup Isabelle !
Bonjour Antoine,
Je fait une petite recherche sur la table d’émeraude en ce moment. Pourriez vous s’il vous plait m’aiguiller vers des ouvrages qui pourraient m’aider dans ma recherche de toutes informations concernant la table.
Merci d’avance
Bonne journée
Merci pour cet article tout simplement génial où on apprend beaucoup de choses. C’est rare de trouver aujourd’hui autant de consistance dans la recherche et l’écriture et cette générosité! Un grand merci !
Merci infiniment chère Antoine pour ce texte qui nous emmène si loin… Et merci pour la précieuse bibliographie, qui nous permet d’en poursuivre la lecture encore longtemps 🙂
Merci Christine !!! 🙂
Super et Passionnant beaucoup de choses en une fois il va falloir le relire plusieurs fois celui là. Merci pour cette montagne d’informations.
Merci de nous enrichir de votre immense savoir sur l’Egypte ….
Les Hieroglyphes antédiluviens d’Hermès Thot existent ils sur les pas #AntoineGigal ö force invisible des mégalithes du mésolithique pour la saveur du jour le #CombiBleu pas de cravate Ö Manche retroussées dans la baie du mont saint michel Ö saveur des travailleur
Je ne dirait qu’un seul mot « Passionnant » !!! Perso, je ne m’en lasse pas….. j’adore !